Magnétiseur Pour "Bonnes" Femmes
1 La Jeannette.
A lorée des années 60, il y avait ici et là dans la France rurale profonde, des "
médecins " dun genre assez particulier
Des médecins, ou du moins qui se disaient
tels, en fait il sagissait de magnétiseurs et autres radiesthésistes, dont un bon
nombre dentre eux aurait pu être qualifié de charlatans
Ils soignaient tout
Tout et
le reste : des brûlures aux entorses, en passant par le mal aux reins, les
rhumatismes, la constipation, les règles douloureuses des femmes, limpuissance des
hommes, les pertes de libido pour les deux hommes et femmes, les envoutements, la
perte dun être cher ou tout simplement dun fiancé
Jai eu la chance den connaître un de près dans mon adolescence. Nous habitions, mes
parents et moi dans le centre de la France, et cétait un de nos voisins. Bel homme de
40 ans, à lépoque de mes 16 ans, il avait ouvert une pratique sous lappellation de
"Magnétiseur Radiesthésiste Généraliste", dans la maison voisine de là nôtre où il
habitait. Comme il ne trouvait pas de travail dans notre coin de campagne très
déshérité, et parce que, aux dires de ma mère, il naimait pas trop le travail, il
sétait reconverti dans cette forme de " médecine ". Cest quon venait le voir de
loin, surtout des femmes. De très jeunes même parfois : 16 -18 ans, à des plus âgées :
des " mémés ", jusquà des 80 ans et plus
Je ne saurais dire exactement les âges, car
à lépoque, toute femme de plus de 40 ans me paraissait évidemment vieille !
Jétais adolescent et jallais entrer au lycée en septembre. Pendant mes vacances et
en labsence de jobs dété dans mon trou perdu de campagne, javais peu de choses
utiles à faire, aussi il me demanda si je voulais bien laider aux travaux quotidiens.
Il était établi depuis 2 ans environ et il disait être dépassé par la clientèle.
Célibataire, il ne fournissait plus aux tâches quotidiennes. Il avait ajouté quil me
donnerait une bonne pièce à la fin de mes vacances. Il vrai quil gagnait superbement
sa vie, car tout était payé en cash et au noir. A raison de 20 à 25 visites par jour,
chacune à 50 et 100 frs de lépoque, parfois davantage, cela fait une jolie somme à la
fin du mois
Mais ce nest pas pour cela que je vous raconte cette histoire, non.
Jembauchais donc chez lui pour faire ses courses, un peu de ménage, préparer
quelques affaires, prendre les appels pour les rendez-vous et recevoir les clients
Cétait un boulot facile et bien payé
Je fus comme un coq en pâte pendant les deux
mois dété et surtout je fus le témoin de situations qui allait grandement contribuer
à mon éducation sexuelle dadolescent
Cest de ces histoires que je voudrais vous
parler
Il mavait octroyé, pour répondre au téléphone et prendre en note les rendez-vous, un
petit espace sous lescalier. Imaginez : un long couloir qui servait dentrée ; dans
ce hall à droite un escalier montant à létage. Au fond du couloir, à droite : le
dessous descalier avec une petite table où je me tenais. A gauche du couloir et en
face de mon espace, la salle dattente (plutôt un salon dédié à cette fonction) et
tout au fond du couloir une porte donnant sur son "cabinet". En réalité il sagissait
de sa salle à manger, transformée en salle de consultation avec table dauscultation,
petite tablette avec instruments médicaux, un bureau et une petite armoire à portes
vitrées
Sous lescalier, au-dessus de ma tête à environ 2 mètres de haut, il y avait une
petite imposte rectangulaire, denviron 40 cm sur 30
Cette imposte vitrée dun verre
dépoli, souvrait dans la salle dite dauscultation. De lendroit où je me tenais,
monté sur la chaise derrière la petite table, il me suffisait de pousser doucement
limposte pour découvrir toute la salle à manger, le bureau, la table dexamen et tout
lespace de la pièce
Comme la petite fenêtre souvrait à la manière dun vantail, il
suffisait de louvrir un peu pour avoir une vue sur lensemble de la salle.
elle, comme elle donnait sur le dessous de lescalier évidemment très sombre, elle
napportait pas de lumière dans la pièce, doù il était difficile de voir si elle
était ouverte ou fermée.
De ce poste dobservation privilégié, où je passais des heures vous vous en
doutez, jai vu des choses très particulières et très intéressantes pour lado que
jétais alors, et que je trouve encore digne dintérêt, cest pourquoi je vais vous
les conter !... Pour observer, je choisissais les patientes "intéressantes" et les
sujets de consultation qui pouvaient lêtre aussi
Comme les portes intérieures
nétaient évidemment pas insonorisées, il me suffisait de tendre loreille lorsquune
patiente entrait pour savoir si le sujet de la visite allait avoir de "lintérêt" pour
moi ou non
Il ne me fallut pas plus dun jour au deux pour me rendre compte que le
"faux médecin", que nous appellerons Bernard par commodité et pour sauvegarder son
anonymat, profitait lui aussi largement des situations, comme vous nallez pas tarder
à vous en rendre compte !...
Une des premières consultations quil fit alors que jétais juste à son
service, concernait une jolie femme denviron quarante ans. Pour les autres souvenirs
des situations qui ont fait en partie mon éducation, je pense que ce sera beaucoup
dans le désordre. Cette première fois, donc, il fit entrer dans son bureau une brune
assez pulpeuse, certes une paysanne, mais plutôt jolie avec un beau corps. Comme nous
étions en été, elle était vêtue dune petite robe légère en tissu imprimé qui lui
allait bien. Jentendis que lobjet de la consultation était un "échauffement de
lentrejambes"
Je montais donc sans me faire prier à mon observatoire.
La dame mis un certain temps à expliquer à Bernard le but de sa visite. Je vais vous
le résumer, et vous allez comprendre pourquoi il ne lui était pas facile de dire les
choses.
(comprenez louvrier agricole !) pendant que le mari faisait la sieste
Cétait avant-
hier et depuis elle avait "lentrecuisse et le reste en feu
" Comme elle avait
"fauté", elle navait pas osé aller voir le médecin de famille qui connaissait trop
bien le mari
Elle avait donc fait plus de 30 km sur "les conseils de sa voisine qui
était déjà venue le consulter et qui en était très contente !... "
Il est vrai que ceux qui ont eu la chance de tenter au moins une fois, cette aventure
de baiser dans le foin, comme jen ai eu moi-même loccasion des années plus tard,
comprendront parfaitement la situation de la dame !
Bien évidemment Bernard demanda à voir de plus près lampleur du problème et
il pria la brune de se défaire pour lexaminer. Sans hésiter elle se troussa et je pus
voir quelle navait pas de culotte. Un étrange dialogue sengea entre eux
Bernard
demanda, étonné :
- " Madame, mais vous navez pas de sous vêtement ?!... "
- " Non, répondit-elle, je ne peux rien supporter au contact, tant ça me brûle
Et même comme ça, en le laissant à lair cest lenfer
Et quand je vais faire pipi,
je ne vous dis pas !... " Elle paraissait vraiment très embarrassée et beaucoup
souffrir du problème. Elle se tenait debout retroussée au milieu de la pièce, Bernard
penché, le regard au niveau du pubis de la dame
- " Vous êtes-vous lavée ? " demanda Bernard qui visiblement navait pas la
solution tout prête pour répondre à la situation.
- " Oh, Monsieur, jai bien essayé, mais cest impossible tant leau active le
feu et tant cela me brûle encore davantage !... "
- " Oui, oui, je comprends bien
, dit Bernard songeur. Montrez-moi cela de plus
près ! " Et il la fit reculer, toujours retroussée, jusquau lit dauscultation. Il
lui fit appuyer les fesses sur le bord du lit, puis il la fit sallonger à demi, sur
le dos, reposant sur ses avant-bras.
Je vis alors juste en face de moi, la brune ouvrir ses cuisses dans le plus bel
écartement. Et là, malgré les poils très bruns mais malgré tout pas trop denses, je
vis sa fente très ouverte et il est vrai, très rouge. Un grand halo rouge signalant
lirritation, débordait largement le niveau de la chatte, remontait sur le pubis,
sétalait à lintérieur de chaque cuisse, pour repartir entre les fesses. La brune ne
sétait pas manquée ! Pour ce que jen pensais et Bernard aussi sans doute, il
sagissait tout simplement des pollens et poussières des graminées et autres plantes
fourragères sèches qui constituent le foin, qui avaient créé une irritation brûlante.
Bernard reprit son interrogatoire :
- " Dites-moi dans quelle position vous étiez quand vous avez
Quand vous avez
fait cela avec le valet. "
- " Jétais comme ça, monsieur
Sur le dos
Il ma prise dans cette position !
"
- " Oui
Et les fesses dans le foin ?... Vous naviez pas mis de protection ?"
- " Vous voulez dire une capote ?... Non, on nen met jamais !... "
- " Non je veux dire une protection sur le foin
Pour ne pas avoir es fesses
directement en contact avec le foin, quoi ! "
- " Ben non, fit-elle, étonnée. Que voulez-vous quon mette ? "
- " Eh bien, des draps ?... Des couvertures ?... Je ne sais pas moi, quelque
chose !... "
- " Vous croyez que lon a ça sous la main dans la grange aux foins ?!... "
- " Cela vous est arrivé souvent de vous faire
, prendre comme ça dans le foin
? "
- " Oui
Oui
Elle semblait chercher dans sa tête, avant de poursuivre :
- " Plutôt dans la paille dhabitude !... Mais là, avant-hier, cétait dans le
foin. Souvent le Fernand (ce devait être le nom du valet. - NDLR), il me prend plutôt
dans lautre sens
Voyez, je me mets à genoux, il se met derrière pour me
me
enfin
me !... "
- " Oui, oui, je vois
, reprit Bernard. Et votre mari il ne se doute de rien ? "
- " Encore heureux ! se défendit la brune
Déjà quhier soir il a voulu me
Enfin, vous voyez
Jai dit que javais mal au ventre, mais je ne sais pas sil ma
cru
Je lai caressé
Enfin je lai
, je lai branlé et je lai fait cracher pour
quil ninsiste pas
" Après un petit silence, elle ajouta :
- " Quest-ce que vous pouvez faire docteur, pour que ça arrête de me brûler
comme ça
"
- " Je vais dabord faire un examen approfondi pour bien circonscrire le
problème ", dit Bernard. Puis il écarta doucement les poils et la fente de la femme.
Je vis alors une superbe chatte très ouverte, longue et bien grasse. Cétait la
première fois que je voyais une fente de femme dans une telle ouverture et qui plus
est, chez une femme de cet âge ! Les grandes lèvres, très rouges, sécartèrent
facilement montrant le trou très ouvert bordé des petites lèvres plutôt longues et
très festonnées, elles aussi très rouges. En haut de la fente, un clitoris
particulièrement gros, rouge lui aussi et qui à ma grande surprise, semblait déjà bien
dressé. Et puis, de la fente ouverte coulait un peu de liquide brillant. Bernard sen
aperçut et le fit remarquer à la Jeannette (cétait le nom de la patiente) :
- " Eh bien vous alors, on peut dire que rien ne vous arrête ! Jai comme
limpression que malgré lirritation vous bandez et que vous coulez déjà
Non ?!... ".
- " Oh, oui
, excusez-moi monsieur... Mais cest plus fort que moi, dès que je
sens que lon me regarde la fente, cela me donne très envie de me
de me
enfin
davoir quelque chose dedans !... "
- " Je vois, je vois
, dit Bernard calmement
A mon avis la démangeaison qui
vous brûle est superficielle et ne semble pas avoir gagné lentrée du trou. En tout
cas, elle natteint quà peine lintérieur des lèvres, me semble-t-il
Bon, voilà pour
linventaire
Maintenant, je vais user de mon pouvoir magnétique : je vais commencer
par une apposition de mes mains bien à plat sur toutes les parties bien rouges qui
vous brûlent et vous me direz au fur et à mesure si vous sentez un soulagement
Ecartez bien les jambes que je puisse bien aller partout ".
La brune sexécuta et ouvrit très grand le compas de ses jambes, en prenant une dans
chaque main, elle dégagea bien son entrecuisse. Bernard lui apposa une main bien à
plat sur le pubis, lautre sur lintérieur dune cuisse
Cela dura plusieurs minutes.
Il me semblait quil récitait entre ses lèvres une litanie. Puis il changeait la
position de ses mains : une main bien à plat sur toute la fente une autre en coquille
pour contenir le bout des fesses et le cul. De temps en temps il soufflait doucement
entre ses lèvres, un filet dair sur les parties de lentrejambe offertes par la
Jeannette. Celle-ci appréciait :
- " Oh, oui, cela me rafraîchit bien, je sens que le feu de ma peau sen va
Jai comme une sensation bizarre
, comme si ma peau craquait de partout "
Ce manège dura bien cinq bonnes minutes : le temps que les mains de Bernard
sappliquent partout. Cest curieux, mais moi javais objectivement limpression que
lentrejambe de la femme était nettement moins rouge quavant
Bientôt, Bernard se
releva et dit :
- " Maintenant, cest moi qui est le feu dans les mains
jai comme limpression
que je vous ai enlevé du feu de votre entrejambe et votre fente
Dailleurs cela vous
brûle moins, nest-ce pas ? "
- " Oh, oui docteur, dit la brune, admirative
Je le sens en effet, et jai
comme une étrange impression, comme si javais très envie de faire pipi
Est-ce normal
docteur ? "
- " Oui, bien sûr répondit Bernard, faisant le savant. Cest leffet en retour
des tissus qui se réhydratent lentement
Maintenant il faut voir si vos parties
intimes jusque là très irritées, reprennent progressivement une sensibilité normale.
Ecartez-vous bien nous allons le vérifier : je vais poser ma langue sur différents
endroits et vous me direz si cela vous brûle encore
Daccord ? Vous êtes prête ? On y
va ? "
Il ouvrit bien grand la jolie fente qui recommençait à couler. Il mit sa langue sur
le clito bien dressé. La Jeannette réagit par un long bruissement quelle faisait en
aspirant lair entre ses lèvres
A ce stade on ne savait pas trop si la brûlure était
encore présente où si la coquine réagissait à la caresse. Puis Bernard lui aspira tout
le clito dans sa bouche et le téta subtilement.
- " Oh oui
là, ça soulage !
Oui
Sucez bien, ça calme
" dit la Jeannette. La garce
avait relevé haut ses jambes, ce qui lui écartait davantage la chatte et loffrait au
maximum à la bouche de Bernard
Je commençais à bander et, toujours debout sur ma
chaise, javais introduit une main dans mon slip pour saisir ma verge qui déjà
durcissait beaucoup
Bernard lui fit cette aspiration du clito durant quelques
instants, puis il fit descendre la pointe de sa langue très doucement à lintérieur
des petites lèvres, la passant de haut en bas en effleurant juste les bords du trou du
con. La brune, après deux ou trois grimaces montrant que la zone était encore
sensible, finit par trouver cela à son goût :
- " Oh putain, ça aussi ça calme énormément !
Votre langue est géniale ! Comment
faites-vous pour que ça ne me brûle plus ?... Si je me laissais aller, je crois que je
jouirais
"
- " Allez-y ne vous gênez pas !, dit Bernard en sortant un peu sa bouche du con de la
belle.
- " Oh, non pas maintenant
je me réserve encore !... Si je peux !... ajout-a-t-elle
".
Bernard en était arrivé à lécher la rosette de la femme, introduisant de temps à autre
sa langue dans le trou du cul, tandis que le bout de son nez entrait doucement dans le
trou à bites
- " Oh, cest bon ça
Cest divin !
Mais comment faites-vous, alors que ça me
brûlait il y a encore un instant, vous passez votre langue, et ça me rafraîchit
Oh
lala, mais aussi ça mexcite et maintenant jaurais très envie que lon
que lon me
quon me baise !... "
Dès que Bernard releva le nez du con ouvert de la Jeannette, celle-ci envoya une brève
et furtive bordée de cyprine qui atteignit le charlatan en pleine poire. Javais moi,
la bite qui était devenue énorme dans mon short, au point que je dû la libérer et la
laisser sortir tant elle me faisait mal. Je la mis donc à lair avec soulagement.
La Jeannette de ses deux mains plaquait maintenant la tête de Bernard sur sa connasse
ouverte, en geignant doucement. Bernard la suça encore un long instant, puis il se
releva et confirma à la femme
- " Cest bien ce que je disais il y a maintenant beaucoup moins de feu et
dirritation par les poussières du foin. Cependant, pour calmer complètement la
sensation de brûlure, je vais vous passer une pommade spéciale sur toutes les parties
irritées, la fente et la peau autour. Ainsi le feu devrait complètement disparaître
dans les heures à venir ".
- " Oh oui, faites, docteur, passez bien tout ce quil faut, là où il faut et
surtout ne vous privez pas den mettre, hein !... Voyez, je mécarte tant que je peux
! "
Bernard alla chercher un tube de je ne sais trop quoi dans larmoire vitrée et il
revint vers la Jeannette qui retenait toujours dans ses mains, ses jambes très
ouvertes. Je pouvais voir la jolie fente dune taille impressionnante à mes yeux
dado, dégoulinante de salive et de liqueur féminine mélangées. Je remarquais aussi
que les lèvres qui bordaient le trou béant étaient maintenant très brunes et très
humides
Bernard déposa une noix de pommade sur ses doigts et il se mit à frotter doucement les
grosses lèvres dabord, puis lintérieur des petites lèvres quil massait en même
temps. Il caressa aussi lillet, et remonta vers le clitoris quil branla doucement.
La brune appréciait et se pâmait de plaisir à chaque passage des doigts dans sa moule
ouverte... De ses deux mains elle, tirait même de chaque côté sur les lèvres de sa
vulve pour louvrir encore davantage. Bernard compris linvitation. Il introduisit son
index dans le trou ouvert de la salope :
- " Et là, chère Jeannette, je ne vous fais pas mal ? Hein, ça ne vous brûle
plus maintenant ?! "
- " Oh non, docteur, au contraire
Cela me calme et me fait du bien
pas
seulement la pommade, hein !
Votre doigt aussi
Là comme ça
Oh, oui !... "
Tout en mastiquant le membre qui bandait dur, je vis Bernard senhardir et mettre
deux doigts, puis trois pour lui limer lintérieur du con
Avec un va-et-vient
calculé, il branlait la coquine qui commençait à jouir
- " Oh oui
, allez-y docteur, cest bon
Vous alors, vous branlez bien !
Cest
ce que ma dit ma voisine en menvoyant chez vous : " Tu verras il branle superbement
bien
Mieux que nos hommes !
" Et cest vrai, ce quelle dit
Jamais le Fernand et
encore moins lArmand (le mari, probablement) ne me font ça !
Non, eux, ils me
fourrent vite avec leur machin dans le trou, pas toujours bien bandé du reste,
Ils
prennent leur plaisir et basta !!... Mais là, oh, oui
, cest super
, on a le temps
de bien jouir
, bien à fond ! Oh oui, continuez
Branlez-moi bien, comme ça
"
Bernard continuait à branler la Jeannette avec dextérité. Elle eut encore le temps de
dire quelques banalités, puis elle atteignit lorgasme dans des soubresauts et des
convulsions qui me paraissaient disproportionnés, mais qui montraient quelle ne
devait pas souvent jouir de façon si intense. La cochonne inondait ses cuisses, son
ventre, la main et le bras de Bernard et aussi le lit en gueulant des obscénités, au
point quun moment je fus pris de panique : je craignais que les autres, dans la salle
dattente, ne lentendent
Puis elle a demandé Bernard de lui donner sa bite à sucer pour le remercier. Bernard
le lui donna, en baissant son froc puis savançant vers sa bouche le braquemart à la
main. Là, je vis pour la première fois ce quétait la bite dun homme dans la force de
lâge et qui de plus, bandait bien. Rien à voir avec mon "bâton de Stick", dont
jétais pourvu à lépoque
Mais bon, quoique de plus normal pour un adolescent ? La
Jeannette prit goulûment le bel engin en bouche et le suça avec avidité et
détermination.
Soudain, la sonnette de la porte dentrée retentit. Je vis la brune marquer un temps
darrêt. Rapidement je remis ma bite à sa place dans le short et je sautais de la
chaise, me rajustant tant bien que mal. Contrarié, je fis entrer lopportun avec un
minimum de politesse et lintroduisis dans la salle dattente. Puis, à toute vitesse
je reprenais mon observation. Mais déjà, Bernard était en train de la baiser : lui
debout entre les jambes de la brune ; elle le dos sur la table, les jambes dans le
vide
Il la pénétrait bien à fond. A chaque poussée, il se bloquait entre les fesses
de la salope. Puis, lorsquil revenait en arrière, son membre dégageant presque
complètement lentrée du con, une giclée de cyprine jaillissait de la fente...
Après quelques va-et-vient, il déchargea dans le trou en saffalant sur la Jeannette
qui gémissait de plaisir. A cet instant sans que jai eu besoin de reprendre les
choses en main de mon côté, je lâchais tout moi aussi, mais dans mon slip, ce qui fit
rapidement un halo humide sur le devant de mon short
Humidité chaude qui me tint
compagnie une bonne partie de laprès-midi et que, assis derrière ma table, je tentais
de dissimuler aux regards
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